Johanna Coppé
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Écriture et photographie
Écrire, photographier : deux tentatives d’habiter pleinement le monde. D’abord à travers l’objectif, puis, les mots sont venus, pour prolonger ces silences, raconter ce qui ne se voit pas mais se devine, dans les histoires que nous portons. Mes romans mêlent mémoire, humanité et résilience et mes photographies témoignent d’un voyage sans fin entre les cultures, les visages et les instants suspendus.
En moi, des échos d'œuvres somptueuses, universelles et parfois intimes qui ont façonné ma sensibilité. Ces inspirations me transportent dans un univers merveilleux où je réveille un désir de créer. Mon premier amour, la musique, était jusqu'il y a peu intime, solitaire et secret. Dans mes romans, parfois, mes morceaux préférés Beethoven résonnent.
Je vous invite à explorer ces récits et ces images qui cherchent à capter ce qu’il y a de plus vivant en nous.
Écrivaine
Je m'inspire de mon passé en tant que médecin humanitaire pour tisser des histoires. Cette perspective singulière offre aux lecteurs un voyage intime à travers les complexités de l'âme humaine et révèle une profonde compréhension des émotions et des luttes internes. Avec sensibilité, j'explore les thèmes de la liberté, de l'amour et de la perte, offrant aux lecteurs un voyage unique sur la guerre, tant sur le front qu'à l'intérieur de soi. L'écriture, baignée de faits historiques, devient une voie pour explorer et guérir les cicatrices invisibles de l'âme, frôler la force de l'esprit humain et le pouvoir de la médecine pour transformer les vies.
Photographe
Avant que les mots ne trouvent une place dans ma vie, c’est à travers l’objectif d’un appareil photo que je cherchais à capter le monde. La photographie m’offrait une manière de rencontrer l’autre, sans les barrières du langage, dans une simplicité dépouillée. Je traversais des paysages, des marchés, des villages, et souvent, il suffisait d’un sourire pour que naisse une rencontre. Ces échanges silencieux, fugaces mais profonds, m’ont appris à observer et à ressentir, à saisir l’instant avant qu’il ne s’efface. Ce regard, forgé par la lumière et les regards croisés, guide encore aujourd’hui mes mots.